Échec consommé du dialogue. Parole et actions sont retournées au peuple. La suite nous dira qui rira le dernier….
Wait and see !
« On peut considérer aujourd’hui que le dialogue a échoué", a affirmé ce mardi, Me Dodji Apévon de la Coalition "Arc-en-ciel", après quelques heures de débats.
Les délégations de la Coalition Arc-en-ciel, de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et de l’ADDI ont quitté la salle des discussions peu après 14H GMT.
Seules les délégations de l’Union pour la République (UNIR, le parti au pouvoir) et de l’Union des Forces de Changement (UFC) sont restées dans la salle avec le facilitateur Mgr Nicodème Barrigah.
"On peut considérer aujourd’hui que le dialogue a échoué. C’est tout, puisqu’on n’a eu aucun accord sur les sujets inscrits au chronogramme. Il y a quelques broutilles mais, sur l’essentiel on a rien obtenu. Tout à l’heure, ils adopteront un rapport général auquel nous n’avons pas envie de nous associer parce l’objectif d’un dialogue ce n’est pas de cataloguer des points de désaccord et signer un rapport pour dire que voilà les points de désaccord", a déclaré Me Apévon.
"Le dialogue doit nous conduire à régler les points de désaccords. Si un effort ne peut pas être fait pour que les points de désaccord soient réglés, c’est inutile de faire cet exercice et d’aller adopter un rapport constatant que seulement on ne s’est entendu sur rien du tout. Ça, c’est de la supercherie a-t-il poursuivi.
"C’est pour cela que nous n’allons pas nous associer à cela. On ne peut pas venir à un dialogue où certains ont décidé de ne pas se prononcer sur les points nous concernant (…) C’est de l’amertume ce n’est pas qu’une déception (…)", a-t-il ajouté.
Au total 12 points ont été abordés notamment la durée et de la limitation du mandat présidentiel, le mode de scrutin pour les élections, les conditions d’éligibilité du président de la république et la réforme de la cour constitutionnelle, les élections locales, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) et le caractère républicain de l’armée. L’affaire des incendies qui ont ravagé les marchés de Lomé et de Kara (nord) en janvier 2013, était également au menu des discussions ».
Savoirnews
Wait and see !
« On peut considérer aujourd’hui que le dialogue a échoué", a affirmé ce mardi, Me Dodji Apévon de la Coalition "Arc-en-ciel", après quelques heures de débats.
Les délégations de la Coalition Arc-en-ciel, de l’Alliance Nationale pour le Changement (ANC) et de l’ADDI ont quitté la salle des discussions peu après 14H GMT.
Seules les délégations de l’Union pour la République (UNIR, le parti au pouvoir) et de l’Union des Forces de Changement (UFC) sont restées dans la salle avec le facilitateur Mgr Nicodème Barrigah.
"On peut considérer aujourd’hui que le dialogue a échoué. C’est tout, puisqu’on n’a eu aucun accord sur les sujets inscrits au chronogramme. Il y a quelques broutilles mais, sur l’essentiel on a rien obtenu. Tout à l’heure, ils adopteront un rapport général auquel nous n’avons pas envie de nous associer parce l’objectif d’un dialogue ce n’est pas de cataloguer des points de désaccord et signer un rapport pour dire que voilà les points de désaccord", a déclaré Me Apévon.
"Le dialogue doit nous conduire à régler les points de désaccords. Si un effort ne peut pas être fait pour que les points de désaccord soient réglés, c’est inutile de faire cet exercice et d’aller adopter un rapport constatant que seulement on ne s’est entendu sur rien du tout. Ça, c’est de la supercherie a-t-il poursuivi.
"C’est pour cela que nous n’allons pas nous associer à cela. On ne peut pas venir à un dialogue où certains ont décidé de ne pas se prononcer sur les points nous concernant (…) C’est de l’amertume ce n’est pas qu’une déception (…)", a-t-il ajouté.
Au total 12 points ont été abordés notamment la durée et de la limitation du mandat présidentiel, le mode de scrutin pour les élections, les conditions d’éligibilité du président de la république et la réforme de la cour constitutionnelle, les élections locales, la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) et le caractère républicain de l’armée. L’affaire des incendies qui ont ravagé les marchés de Lomé et de Kara (nord) en janvier 2013, était également au menu des discussions ».
Savoirnews
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire